BibleAll
Home
Bible
Parallel Reading
About
Contact
Login
Verse of the Day
I love the LORD, because he hath heard my voice and my supplications.
Psalm: 116:1
King James Versions
Tamil Bible
Alkitab Bible
American Standard Version
Bible Latinoamericana Spanish
Biblia Ave Maria
Biblia Cornilescu Română
Biblia Cristiana en Espaคol
Bà¸blia da Mulher Catขlica
Elberfelder Bible
Hebrew Bible (Tanakh)
Hindi Bible
Holy Bible in Arabic
Holy Bible KJV Apocrypha
Italian Riveduta Bible
La Bible Palore Vivante
La Bible Darby Francis
La Biblia Moderna en Espaคol
La Biblia NTV en Espaคol
Magandang Balita Biblia libre
Malayalam Bible
Marathi Bible
Tagalog Bible
Telugu Bible
The Holy Bible in Spanish
The Holy Bible RSV
The Vietnamese Bible
Urdu Bible
Zulu Bible Offline
БиблиÑ. Синодальный перевод
Punjabi Bible
Korean Bible
Select Book Name
Genèse
Exode
Lévitique
Nombres
Deutéronome
Josué
Ruth
Premier livre de Samuel
Deuxième livre de Samuel
Premier livre des Rois
Deuxième livre des Rois
Premier livre des Chroniques
Deuxième livre des Chroniques
Esdras
Néhémie
Esther
Job
Psaumes
Proverbes
Ecclésiaste
Cantique des Cantiques
Ésaïe
Jérémie
Lamentations
Ézékiel
Daniel
Osée
Joël
Amos
Abdias
Jonas
Michée
Nahoum
Habacuc
Sophonie
Aggée
Zakarie
Malachie
Bonne Nouvelle selon Matthieu
Bonne Nouvelle selon Marc
Bonne Nouvelle selon Luc
Bonne Nouvelle selon Jean
Actes des Apôtres
Lettre aux Romains
Première lettre aux Corinthiens
Deuxième lettre aux Corinthiens
Lettre aux Galates
Lettre aux Éphésiens
Lettre aux Philippiens
Lettre aux Colossiens
Première lettre aux Thessaloniciens
Deuxième lettre aux Thessaloniciens
Première lettre à Timothée
Deuxième lettre à Timothée
Lettre à Tite
Lettre à Philémon
Lettre aux Hébreux
Lettre de Jacques
Première lettre de Pierre
Deuxième lettre de Pierre
Première lettre de Jean
Deuxième lettre de Jean
Troisième lettre de Jean
Lettre de Jude
Apocalypse
Chapter
Verse
Go
Prev
La Bible Palore Vivante
Next
Habacuc : 1
Track Name
00:00
00:00
Chapters
1
2
3
Voici le message que Dieu a fait connaître au prophète Habacuc dans une vision.
Seigneur, je vais t’appeler au secours pendant combien de temps ? Tu n’écoutes pas ! Je crie contre la violence, mais tu ne sauves pas !
Pourquoi est-ce que tu me fais voir le mal ? Pourquoi regardes-tu notre misère sans réagir ? Partout autour de moi, les gens pillent et agissent avec violence. Il n’y a que des procès et des disputes.
Personne n’applique les lois, personne ne rend la justice comme il faut. L’homme mauvais attaque celui qui est honnête, et les juges rendent des jugements injustes.
Le Seigneur dit : « Observez bien ce qui se passe parmi les autres peuples, soyez étonnés et très surpris ! Oui, quelque chose d’extraordinaire va arriver pendant votre vie. Si on vous raconte cela, vous ne le croirez pas !
Je fais venir les Babyloniens, ce peuple violent et sans pitié. Ils vont partout sur la terre pour conquérir les régions qui ne sont pas à eux.
Ce sont des gens terribles et effrayants. Ils décident seuls de leurs droits et de leur pouvoir.
Leurs chevaux courent plus vite que les léopards, ils sont plus rapides que les loups qui vont chasser le soir. Leurs cavaliers arrivent de loin et bondissent. Ils volent comme l’aigle qui tombe sur un animal pour le dévorer.
Ils arrivent tous pour piller, le visage tendu en avant par l’envie. Ils rassemblent des prisonniers, aussi nombreux que les grains de sable.
Ces gens-là se moquent des rois. Ils traitent avec mépris ceux qui gouvernent. Ils n’ont pas peur des villes bien protégées : ils font des terrasses de terre pour les prendre toutes.
Ils passent comme une tornade et continuent leur chemin. Pour eux, ce qui compte c’est leur force : elle est leur dieu. »
Depuis toujours, c’est toi qui es le Seigneur, tu es mon Dieu, tu es saint et tu ne meurs pas. Seigneur, tu as choisi les Babyloniens pour nous juger. Toi, mon solide Rocher, tu les as chargés de nous punir.
Tu as les yeux trop purs pour regarder le mal, tu ne peux pas accepter de voir le malheur. Pourtant, tu regardes sans rien dire ceux qui trompent les autres. Quand les gens mauvais détruisent ceux qui sont plus justes qu’eux, tu ne dis rien.
Tu traites les humains comme les poissons, comme les petites bêtes qui n’ont pas de maître. Oui, pourquoi ?
Les Babyloniens prennent les gens comme le poisson pris au crochet. Ils les ramènent dans leurs filets, et ils sont fous de joie.
Ils offrent des sacrifices à leurs filets, ils brûlent de l’encens en leur honneur. En effet, grâce à eux, ils attrapent beaucoup de poissons et mangent une nourriture délicieuse.
Est-ce qu’ils arrêteront un jour d’utiliser leurs filets pour tuer sans pitié les autres peuples ?
×
×
Save
Close