J’ouvre la bouche, et il me fait manger le rouleau.
Ensuite, il me dit : « Toi, l’homme, remplis ton ventre, nourris-toi avec ce rouleau que je te donne. » Je le mange donc. Dans ma bouche, il est doux comme du miel.
Alors l’esprit de Dieu me soulève de terre, et j’entends derrière moi ce grand cri : « Chantons la louange du Seigneur là où il montre sa gloire ! »
Les ailes des êtres vivants se heurtent les unes aux autres. J’entends le bruit qu’elles font en même temps que le bruit des roues. Cela fait un bruit terrible.
Quand je dirai à l’homme mauvais : “Tu vas mourirâ€, avertis-le. Dis-lui de laisser sa conduite mauvaise pour qu’il vive. Si tu ne l’avertis pas, l’homme mauvais mourra à cause de ses fautes. Mais toi, je te demanderai des comptes pour sa mort.
Au contraire, supposons ceci : tu avertis cet homme pour qu’il ne fasse pas le mal, et il ne le fait pas. Dans ce cas, il pourra vivre grâce à tes avertissements, et toi, tu sauveras ta vie. »