Nous irons plutôt en Égypte. Là -bas, nous ne connaîtrons plus la guerre, nous n’entendrons plus l’appel de la trompette de guerre, nous ne souffrirons plus de la faim. C’est là -bas que nous voulons habiter.â€
alors la guerre, qui vous fait peur, vous poursuivra jusque-là . La faim, qui vous inquiète maintenant, vous atteindra en Égypte, et c’est là -bas que vous mourrez.