Ce jour-là , le Seigneur, Dieu de l’univers, vous demandait de pleurer, de pousser des cris, de vous raser la tête et de porter des habits de deuil.
Or, c’est la joie et les plaisirs : les gens abattent des bœufs, tuent des moutons, ils mangent de la viande et boivent du vin. Vous dites : « Mangeons et buvons, car demain nous mourrons ! »
Tu fais creuser une tombe ici, pour toi, tu la fais tailler en hauteur, tu te creuses un lieu de repos dans le rocher. Mais qu’est-ce qui est à toi ici ? Est-ce que tu as des parents ici ?
Tu crois que tu es fort. Eh bien, le Seigneur va te rejeter au loin. Il va t’entourer de cordes
et il t’enverra rouler comme une boule dans un grand pays. C’est là -bas que tu mourras, avec tes chars magnifiques, toi qui couvres de honte la maison de ton maître ! »
Le Seigneur dit : « Je te chasserai de ton poste, je t’arracherai de ta place.
Ce jour-là , je ferai appel à mon serviteur Éliaquim, fils de Hilquia.