Dans les rues, ils portent des habits de deuil. Sur les terrasses des maisons et sur les places, ils chantent des chants de deuil, et tout le monde pleure.
C’est pourquoi les gens prennent les biens qui leur restent, ce qu’ils ont pu garder. Ils les emportent plus loin, au-delà du torrent des Peupliers.
On entend des appels au secours tout autour du territoire de Moab. On entend ces cris de deuil jusqu’à Églaïm, jusqu’au puits d’Élim.